Konitza asbl
Centre culturel d’Evere
Le 21 - 22 & 27 - 28 novembre 2010 à 20h
43, rue de Paris - 1140 Evere
Présentent
JOURNAL D’UNE FEMME DU KOSOVO
Le témoignage bouleversant d’une femme sur la guerre
Une performance de Zenel Laci
Inspiré de la chronique de Sevdije Ahmeti
CREATION à Bruxelles
Avec Anila Dervishi et Afrim Jahja
En partenariat avec le Service de la culture d’Anderlecht
& le Festival Nentori de Namur
Et le soutien de:
La Ville de Bruxelles, Le Théâtre Royal de Namur, Le Carrefour des cultures de Namur,
L’association Doras-dores de Huy, Le Centre culturel de Huy
Dates et production en cours à Bruxelles
Du 21 au 22 et du 27 au 28 novembre 2010, Centre culturel d’Evere
Le 5 mars 2011, Salle Molière d’Anderlecht / Journée internationale des femmes
Le 12 novembre 2011, Hôtel de Ville de Bruxelles / Quinzaine des femmes
La Maison des cultures de Molembeek (date à fixer)
Dates et Production en cours en Wallonie.
Le 6 novembre 2010, Théâtre Royale de Namur / Festival Nentori
Centre culturel de Huy (date à fixer)
Carrefour des cultures de Namur (date à fixer)
L’équipe
Adaptation : Safet Kryemadhi
Mise en scène & scénographie : Zenel Laci
Comédienne : Anila Dervishi
Musicien : Afrim Jahja
Images & vidéo : Nimetulla Parlaku
Régie : Etienne Delronche
Costumes : Elona Meshi
Décor & accessoires : Skender Hyseni
Production : Gabrielle Dailly
Un hymne à l’amour et à la liberté écrit durant les pires heures du nettoyage ethnique, sublimé par un duo exceptionnel.
Le ‘’Journal d’une femme du Kosovo’’ est une performance théâtrale inspirée de la chronique tenue par Sevdije Ahmeti, militante albanaise des droits de l’homme, durant la guerre au Kosovo.
Dans un espace vide, un guitariste et une performeuse nous plonge dans l’horreur du nettoyage ethnique. Sur fond de musique rock, des images de Piéta, projetées sur écran vidéo, dévoilent la douleur d’une femme qui adresse des appels à l’aide à nous, spectateurs, mais aussi aux médias, aux hommes politiques de tout bord, aux organisations des droits de l’homme du monde entier, aux ONG …, en dressant l’inventaire de nos lâchetés politiques et gouvernementales.
Une voix féminine porte la douleur d’un peuple. Ni cri, ni plainte. Cette voix nue raconte simplement l’horreur commise répandue au nom de la pureté ethnique. La musique prolonge les silences et fait jaillir l’espoir et la volonté des peuples martyrisés.
La performance est une allégorie de ce désir morbide de pureté qui, quelles que soient les époques et les lieux, partage le monde en bourreaux et victimes.
Ce spectacle est le premier témoignage accessible d’une albanaise du Kosovo sur nos scènes belge.
Une performance théâtrale qui marquera les esprits longtemps encore.
Deux grands interprètes, Anila Dervishi (Théâtre National de Tirana) et Afrim Jahja (guitariste rock – The Witness) déploient leur talent dans un spectacle qui marie densité émotive et puissance magique.
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Le texte original : ‘’Journal d’une femme du Kosovo’’ est édité aux éditions Karthala, Paris, 2001.
Une performance qui appelle à témoigner pour l’humanité contre les folies nationalistes et les crimes qui en résultent.
Le spectacle est un projet collectif, initié par le metteur en scène, Zenel Laci, et porté par toute l’équipe de création. Une équipe en grande partie albanaise, dont tous les membres ont été marqués, d’une manière ou d’une autre, par la cruauté de cette guerre.
Le projet est né du besoin d’accomplir un devoir de mémoire à l’égard des albanais du Kosovo, de le rendre public, pour ne pas céder à la tentation de l’oubli.
Parce que le théâtre doit aborder des questions essentielles tel que : les crimes contre l’humanité dont le viol « collectif » utilisé comme arme de guerre dans les conflits armés occupe le sommet de l’indignité dans la hiérarchie des barbaries modernes.
La performance évoque avec une dignité exemplaire les exactions commises contre les femmes dans ces périodes de violences et de sang.
Mais, c’est avant tout un témoignage d’amour et de liberté qui est adressé au public, transcendé par la comédienne, Anila Dervishi, porté par le musicien, Afrim Jahja et les images doloristes de Nimetulla Parlaku ; s’y mêlent : sons de guitare rock, prises de paroles, déclarations universelles, projections oniriques, chant d’amour qui embrasent la salle et font communier acteurs et spectateurs.
Une performance courageuse et salutaire qui renforce nos convictions du refus des barbaries exercées contre les minorités et les personnes les plus vulnérables, à commencer par les femmes et les enfants.
« Sevdije Ahmeti est la liberté même. Sa chronique de cette longue épreuve collective est un témoignage les plus authentiques que je connaisse. C’est une des femmes que je respecte le plus au monde. »
Bernard Kouchner
Pour plus d’infos : www.centreculturelevere.be
Télécharger le dossier de presse complet.
Biographie des intervenants:
Sevdije Ahmeti, auteur
Safet Kryemadhi, adaptateur
Zenel Laci, auteur, metteur en scène, scénographe
Anila Dervishi, comédienne
Afrim Jahja, musicien
Nimetulla Parlaku, auteur, réalisateur
Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à ce spectacle et du soutien médiatique que vous voudrez bien lui accorder.
Service presse
Kate Holman
11, avenue Paul Nicodème
1330 - Rixensart
Mob : +32 (0)475 24 75 33
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