Faik Konitza

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  • Ismail Kadare

    Né en 1936 à Gjirokastër, Ismail Kadare a édifié une œuvre littéraire qui le place parmi les plus grands écrivains contemporains. Ses chroniques et récits, romans intimistes ou romans mondes, poésies et essais, ont pour personnage central l’Albanie. Ou plutôt son double de légende, la Kadarie qui fait dialoguer les époques, les lieux, les mythes, les protagonistes et les fantômes des tragédies albanaises.

    Des montagnes maudites aux salons de l’élite communiste à Tirana, Moscou et Pékin, d’une station d’écoute du Pôle Nord au survol des déserts d’Arabie, de l’Auberge des deux Robert à l’outre-monde, Ismail Kadare a peint la fresque d’une Albanie arrachée au réel pour régner au coeur de la géographie littéraire. Dans ses récits, les soubresauts des existences individuelles annoncent le surgissement de la tragédie. La brume est le vêtement de la fatalité tandis que la vie, dans sa fragilité, ne renonce jamais à défier le destin. La fiction chez Kadaré est l’ombre tyrannique de la réalité, qui en amplifie l’angoisse jusqu’à l’absurde.

    Traduit dans une trentaine de langues, Ismail Kadare a raconté l’universalité de la condition humaine en puisant dans la mémoire d’un peuple plus vieux que la langue d’Homère. Chevauchant les époques, il poursuit une brillante conversation à distance avec ses pairs du panthéon littéraire : Eschyle, Dante, Shakespeare…

    Il est titulaire des prix littéraires internationaux Cino Del Duca, Booker Prize et Prince des Asturies.

    Ismail Kadare. Image: wikipediaRencontre littéraire avec Ismail Kadaré, 2 mars 2010, 20:00 - attention: changement de lieu


    Depuis quatre décennies, Ismail Kadaré (né en 1936) est l'écrivain albanais le plus connu dans son pays et à l'étranger. Son œuvre intrigante se décline en prose, en poèmes et en essais et a été couronnée par de nombreuses récompenses, dont le Man Booker International Prize (2005) et le Prix du Prince des Asturies (2009). Son nom a été cité à plusieurs reprises pour le Prix Nobel.

    Didier Mélon (RTBF) s’entretient avec l’auteur sur 45 ans d'écriture dans une Europe en pleine mutation, dont les Balkans constituent le cœur fébrile.

    L'histoire de l'Albanie et les mythes des Balkans sont centraux dans l'œuvre de Kadaré. Mais il s'intéresse aussi à des thèmes littéraires universels comme l'ivresse du pouvoir, la vendetta et la jalousie. Dans son style, il associe le drame et l'ironie. Depuis qu'Ismail Kadaré a obtenu l'asile politique en France en 1990, il vit entre Paris et Tirana. Ses livres sont toujours édités en même temps en français et en albanais. Son dernier ouvrage traduit en français, Le dîner de trop, est paru à l'automne 2009 et a été sélectionné pour le Prix Médicis. En février 2010, L'accident (2008) sera publié dans une traduction néerlandaise. Les éditions Van Gennep rééditent également deux titres qui avaient valu dans les années 1980 et 1990 une célébrité internationale: Maannacht (Clair de lune) et Een breuk in april (Avril brisé).

    La Bellone, rue de Flandre 46, 1000 Bruxelles.  En français.  Entrée : 5 € / 4 €      
    Réservation indispensable, vu le nombre limité de places disponibles:
    www.passaporta.be ou 02 223 68 32

    Org.: Passa Porta, Het beschrijf, Konitza, Uitgeverij Van Gennep

    Literaire ontmoeting met Ismail Kadare, 2 maart 2010, 20:00


    Al vier decennia geldt Ismail Kadare (1936) in binnen- en buitenland als de meest bekende Albanese schrijver. Zijn intrigerende werk bestaat uit proza, poëzie en essays en werd bekroond met talrijke prijzen, waaronder de Man Booker International Prize (2005) en de Prins Asturiëprijs (2009). Hij werd meermaals getipt voor de Nobelprijs.

    Didier Mélon (RTBF) spreekt met de auteur over 45 jaar schrijverschap in een veranderend Europa, waarvan de Balkan het rusteloze hart is.

    In Kadare's werk staan de geschiedenis van Albanië en de mythen van de Balkan centraal. Hij verwerkt daarbij graag universele literaire thema's zoals machtswellust, bloedwraak en afgunst. In zijn stijl combineert hij drama en ironie. In maart 2010 verschijnt Het ongeluk (2008) in Nederlandse vertaling. Uitgeverij Van Gennep verzorgt ook heruitgaven van twee titels waarmee de auteur in de jaren 1980 en 1990 internationale faam verwierf: Maannacht en Een breuk in april. Sinds Ismail Kadare in 1990 politiek asiel kreeg in Frankrijk, woont hij afwisselend in Parijs en Tirana. Zijn laatste boek in Franse vertaling was Le dîner de trop, dat najaar 2009 verscheen en genomineerd werd voor de Prix Médicis.

    La Bellone, Vlaamsesteenweg 46, 1000 Brussel.  In het Frans.  Toegang : 5 € / 4 €
    Reserveren is noodzakelijk, gezien het beperkt aantal plaatsen : www.passaporta.be of 02 223 68 32

    Org.: Passa Porta, Het beschrijf, Konitza, Uitgeverij Van Gennep

     

  • Du Bonheur

    Les désirs et les affects se mettent au service d’une liberté  active lorsqu’ils sont connus, apprivoisés et réfléchis. Le projet thérapeutique est celui d’une délivrance faisant passer l’individu de l’égarement à la lucidité, et l’aidant à cheminer vers une autre manière de vivre.

    La responsabilité de cette avancée consiste pour la personne à se comprendre progressivement comme individu souffrant puis à être restauré comme sujet désirant, capable de mettre en œuvre sa propre libération. Elle nécessite outre une grande vigilance vis-à-vis de la négativité, une réflexion soutenue sur les enjeux existentiels décrits par les philosophies de la joie.

    La porte du changement s’ouvre de l’intérieur : les processus d’émergence et de déploiement trouvent leur point de départ dans l’intériorité du sujet. Le bonheur est à créer à chaque instant non à attendre pour demain. Le bonheur n’est certainement pas un droit car il n’est dû à quiconque. Il se mérite puisque c’est un ouvrage dont la décision de mise en œuvre et le projet d’aboutissement sont régulièrement à repenser et à fortifier.

    La rationalité est une puissance critique, tant vis-à-vis des peurs que des faux espoirs. Si le bonheur se trouve parfois là où nous le plaçons, alors il faut le placer le plus possible là où nous nous trouvons, quel que soit le lieu, et ne pas attendre encore et encore un autre lieu, un autre temps.

    Le véritable risque de la vie est le refus de l’aventure. Le résultat est l’inauthenticité du mode d’être, la banalité, la passivité dans laquelle on se conforte pour échapper à la liberté impressionnante d’avoir à choisir…

    Jean-Marie Luffin, Vice-Président

    Extr. « Se changer soi pour changer le monde »

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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